Adepte de photographie urbaine, et de situations burlesques et poétiques que peut offrir la rue, il en faisait son terrain de jeu. Constamment à la recherche de jeux d’ombres, de lumières, de couleurs et de reflets, ceux-ci sont très présents dans son travail.
Son œil s’attardait autant sur les lignes de l’architecture que sur celles de la nature, omniprésente dans toutes ses photos.
Il aimait également rendre compte des corps et de leurs mouvements, ou à l’inverse, de leur immobilité.
Essayant constamment de se renouveler, il s’appuyait autant sur les grands maîtres que sur les jeunes talents, respectant autant l’ancien que le nouveau.
Comme dans son activité professionnelle, il croyait en la jeunesse et à ce qu’elle peut apporter, des nouvelles technologies aux visions, par l’image ou dans la société. Ceci se voyait également dans le choix de son matériel, utilisant autant son iPhone qu’un Hasselblad, bien que leur préférant souvent de simples compacts numériques.